les insomnies
la nuit qui m'avait tant serviles insomnies – la nuit qui m’avait tant servi
acrobatie, musique, images, poésie
« L’orchestration de ce spectacle a cela d’étonnant qu’elle permet aux artistes de s’exprimer en solistes, tout en donnant l’impression de se répondre, se comprendre, se retrouver naturellement. C’est très émouvant. Les enfants captivés n’en croient sans doute ni leurs yeux, ni leurs oreilles. Quant aux adultes, ils peuvent avoir l’impression d’être sur une balançoire géniale soulevée par la poésie de René Char et ces artistes vraiment inspirés. »
Evelyne Trân, LeMonde.fr
Tournée de 2015 à 2018
spectacle labellisé « Printemps des Poètes »
création 2015
spectacle tout public à partir de 10 ans
durée 70 min.
textes
René Char
conception
Sébastien Dault
images et chant
Katerini Antonakaki
acrobatie
Sébastien Dault
piano
Ilias Sauloup
jeu
Olivier Sellier
Coproduction Théâtre Massalia, Pôle Cirque Méditerranée CREAC de Marseille, Théâtre Europe – La Seyne sur Mer ; avec le soutien du Safran – Scène conventionnée, de la Maison du Théâtre, du Centre Culturel Jacques Tati et du Lycée La Hotoie à Amiens, du Tas de Sable – Pôle des Arts de la Marionnette en Région Picardie, du Vélo Théâtre à Apt, du Théâtre Dunois.
Ce projet a bénéficié de l’aide du Ministère de la Culture / DRAC Picardie, au titre de compagnie conventionnée, du Conseil régional de Picardie, du Conseil général de la Somme et d’Amiens Métropole ainsi que de la Ville de Paris dans le cadre de la diffusion au Théâtre Dunois.
Avec l’aide à la diffusion pour Charleville du Conseil régional Hauts-de-France.
dans la presse
Zibeline - février 2015
L’acrobate Sébastien Dault hante la piste comme au cœur de la nuit le bruit du frigo. Le comédien, Olivier Sellier, s’insinue partout avec aplomb, donnant sa voix aux mots du poète. Tandis que résonnent les notes d’Ilias Sauloup, pianiste au toucher subtil, les gestes calmes de la graphiste travaillent une lumière liquide au pinceau. Katerini Antonakaki chante également, et on sent qu’elle a dansé, peut-être dans une autre vie.
Gaëlle Le Cloerec
Courrier Picard - mars 2015
Accroché à ses draps, l’acrobate se contorsionne et évoque les aspects physique de l’insomnies. La veilleuse ne veut pas dormir. Elle dessine ou fabrique des objets manipulés. Le pianiste, lui non plus, ne dort pas. Il jour un récital composé de musique classique, contemporaine, d’improvisations… « Et puis il y a le fugitif qui est l’électron libre du spectacle ». Une fois de plus, la main d’œuvres mêle les arts plastiques, le théâtre d’objets, l’acrobatie et la musique dans une proposition inclassable.
Estelle Thiebault
Le Monde.fr / Théâtre au vent - mars 2015
C’est un instant délicieux que celui d’assister aux applaudissements d’un public de bambins au spectacle « les insomnies » une création de l’association la main d’œuvres autour de textes de René CHAR (…) Tout public, l’intention n’est pas dogmatique, elle reste essentiellement poétique et ouverte (…) C’est toujours en creux le songe malléable (…) L’orchestration du spectacle a cela d’étonnant qu’elle permet aux artistes de s’exprimer en solistes, tout en donnant l’impression de se répondre, se comprendre, se retrouver naturellement. C’est très émouvant. Les enfants captivés n’en croient sans doute ni leurs yeux, ni leurs oreilles. Quant aux adultes, ils peuvent avoir l’impression d’être sur une balançoire géniale soulevée par la poésie de René Char et ces artistes vraiment inspirés.
Evelyne Trân
Sortiz - mars 2015
Ils nous emballent et nous emportent, tout en créant une ambiance à la fois miraculeuse et étrange. C’est une évocation que nous connaissont bien, qui nous évoque certes des images d’enfance et de rêve, mais sans que nous nous souvenions avec exactitude de l’origine de ces associations. Un spectacle plein d’étonnement, de petites ruses, qui créent des effets puissants sans avoir besoin de grandes et grosses machineries de théâtre. Katerini Antonakaki joue avec un rétroprojecteur, en créant des images à la fois abstraites et figuratives. Ces projections là se mélangent avec des images transmises en live de différentes caméras installées sur scène, créant ainsi une confusion de perspectives et mettant le public dans une position de spectateur désorient.
Alina Bucherberger
Holybuzz - mars 2015
Quatre artistes soignent leurs insomnies chacun à leur manière. Entre autres, l’acrobate s’envole dans les airs, grâce au drap et aux lattes de son lit auxquels il est attaché. Des découpages flottants ont des airs lunaires qu’envierait un Pierrot. Les morceaux de piano classique sont nombreux, divers et interprétés avec sensibilité. Le comédien s’incarne dans la langue de René Char. J’ai particulièrement apprécié son « pas de deux » armé. C’est très beau, poétique, spectaculaire. C’est un spectacle complet et ambitieux aussi.
Difouaine
Pour quel public - avril 2015
Textes de René Char, acrobaties, vidéo et musique se mêlent et se répondent dans une mise en scène où la lumière apparaît par contraste avec une obscurité qu’elle ne bouscule jamais (…) Expérience sensorielle, Les Insomnies – la nuit qui m’avait tant servi est un spectacle audacieux et inventif. De par son énergie et la place accordée au visuel, il a tout pour plaire à des publics peu habitués au théâtre, notamment les adolescents et les jeunes adultes qui y trouveront le frisson de l’expérimentation artistique.
dates passées
Festival Imaginale / Stuttgart – ALLEMAGNE – janvier 2018
Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes / Charleville – septembre 2017
Pôle National Cirque et Arts de la rue au Centre Culturel Jacques Tati / Amiens – janvier 2017
Théâtre Dunois / Paris – décembre 2016
Le Safran – Scène Conventionnée / Amiens mars 2015
Théâtre Dunois / Paris – mars 2015
Biennale Internationale du Cirque, Friche Belle de Mai – Théâtre Massalia / Marseille – janvier 2015
Résidences de création : Maison du Théâtre, la Passerelle, le Safran – Scène conventionnée, le Tas de sable, Centre Culturel Jacques Tati à Amiens ; Vélo théâtre à Apt et Théâtre Massalia à Marseille.